Parc Jacques-Cartier, Gatineau
En 1994, l'inventaire archéologiques du parc Jacques-Cartier a mené à la découverte d’un important campement précontact. Ce site, qui a été occupé il y a entre le XIXe siècle et 3000 ans avant aujourd'hui, comprend une aire dont les groupes autochtones se servaient comme atelier pour fabriquer des outils en pierre. Le week-end dernier, le 04-05 août 2012, dans le cadre du mois de l'archéologie au Québec, le GRAO avec la participation de nombreux bénévoles ont découverts de nombreux artefacts ainsi qu' une strucutre pierres sèches dans une des trois aires de fouilles de la zone A du site.
Les collections archéologiques d’artéfacts datant de la période précontact trouvés sur le site sont semblables à celles des sites du parc du Lac-Leamy; elles comprennent des débris de taille en pierre en chert local. On a aussi mis au jour des objets manufacturés datant du début de la colonie, tel des morceaux de plats en terre cuite fine blanche décorée, des tuyaux de pipes en argile et des tessons de bouteilles de vin.
En 1994, l'inventaire archéologiques du parc Jacques-Cartier a mené à la découverte d’un important campement précontact. Ce site, qui a été occupé il y a entre le XIXe siècle et 3000 ans avant aujourd'hui, comprend une aire dont les groupes autochtones se servaient comme atelier pour fabriquer des outils en pierre. Le week-end dernier, le 04-05 août 2012, dans le cadre du mois de l'archéologie au Québec, le GRAO avec la participation de nombreux bénévoles ont découverts de nombreux artefacts ainsi qu' une strucutre pierres sèches dans une des trois aires de fouilles de la zone A du site.
Les collections archéologiques d’artéfacts datant de la période précontact trouvés sur le site sont semblables à celles des sites du parc du Lac-Leamy; elles comprennent des débris de taille en pierre en chert local. On a aussi mis au jour des objets manufacturés datant du début de la colonie, tel des morceaux de plats en terre cuite fine blanche décorée, des tuyaux de pipes en argile et des tessons de bouteilles de vin.
Fouilleurs bénévoles sous la supervision de Marcel Laliberté, archéologue |